Et en Auvergne il y a aussi ça!

En Auvergne on peut aussi découvrir des grottes troglodytes, des Forts, beaucoup de château ou d’Abbaye, des cascades ! Enfin que de belles découvertes ! N’hésitez pas à y aller c’est vraiment une belle région !

Grottes Troglodytes de Jonas

DSCN0394Les grottes de Jonas sont un habitat troglodytique, situé à Saint-Pierre-Colamine près de Besse-et-Saint-Anastaise (3 km) et Murol, département du Puy-de-Dôme, région d’Auvergne, France. Originaire de l’éruption du volcan de Jonas, le site s’est formé de plusieurs cônes alignés sur une longue fissure. Toutes les grottes ont été creusées par les hommes, dont les premiers furent les Celtes en 400 av. J-C. (autel celtique et statue gallo-romaine). La construction s’est poursuivie jusqu’au Moyen Âge vers le XIIIe siècle. La falaise fait 500 mètres de long sur 100 m de haut et la partie Est était habitée par le seigneur alors que la partie Nord était occupée par les villageois et les animaux. Composé d’environ 70 pièces aménagées dans le tuf sur 5 étages, ce village pouvait abriter 600 personnes composées de moines, militaires et paysans.

Forteresse de Polignac

DSCN0503Le château de Polignac se dresse dans la commune de Polignac près du Puy-en-Velay, dans le département de la Haute-Loire. Elle occupe une butte ou plate-forme basaltique, fragment d’une ancienne coulée volcanique (altitude : 700 m), dominant la vallée de Polignac et le bassin du Puy. Le rocher est bordé de falaises abruptes hautes de près de 100 m, sauf vers le nord, où une triple ligne de remparts a été aménagée.

Cascade de Vaucoux (d’Anglard)

DSCN0443Cascade sur roche volcanique, située sur le ruisseau de Vaucoux, au cœur du bois de Champs. D’une trentaine de mètres de hauteur , elle est entièrement recouverte de glace l’hiver .

Église Saint-Austremoine d’Issoire

DSCN0447C’est l’une des plus belles églises romanes d’Auvergne parmi les cinq autres églises dites « majeures » :

Elle est classée monument historique depuis 1840.

Lyon et ses belles choses à voir

Je vis à côté de Lyon depuis maintenant 3 ans, c’est la troisième grande ville de France. Je vais vous présenter quelques belles choses à visiter, si vous voulez un jour venir voir cette belle ville 🙂 Commençons par son immense parc, poumon de la ville: le Parc de La Tête d’Or.

Le parc de la Tête d’Or est un parc urbain de Lyon, l’un des plus grands de France. Œuvre des frères Denis et Eugène Bühler, le parc est ouvert dès 1857 alors que les travaux ne sont pas achevés. Il est exactement contemporain du Central Park de New York, créé la même année. Le parc est enrichi de nombreux bâtiments comme les grandes serres en 1865, le vélodrome, le chalet des gardes et le chalet en 1894, la clôture en 1896, les serres de collection en 1899, le monument aux morts de l’île aux Cygnes entre 1914 et 1930 ou encore la nouvelle roseraie entre 1961 et 1964. Aujourd’hui géré par la ville de Lyon et véritable poumon de l’agglomération, le parc offre sur 117 hectares une vaste étendue naturelle au cœur de la cité. On y accède par huit entrées, la dernière ayant été ouverte en 2009, au niveau de l’esplanade de la Cité Internationale. Des événements divers, films, théâtre, expositions ou autre en font un haut lieu de la culture lyonnaise. Le parc est un cadre de prédilection pour les photos de mariage : aux beaux jours on y croise de nombreux couples qui viennent s’y faire photographier. Image illustrative de l'article Parc de la Tête d'Or

Vous y découvrirez un beau jardin botanique où environ 15000 plantes y sont répertoriées, ce qui en fait un des jardins botaniques les plus riches d’Europe ; 4 roseraies ; une grande serre avec de plus petites ; le vélodrome Georges-Peveral créé en 1894 ; un lac de 16 hectares ; un parc zoologique où se trouvait, il y a peu, les deux éléphants que la princesse Stéphanie de Monaco a recueilli chez elle. Voici quelques photos de ce zoo ouvert à tous, tous les jours de l’année 🙂

La panthère de l’amour

20131119La panthère de l’Amour diffère des autres sous-espèces par une épaisse fourrure tachetée qui ne ressemble à aucune autre. Le pelage des panthères du bassin de la rivière Amour, des montagnes du nord-est de la Chine et de la péninsule Coréenne est de couleur crème, surtout en hiver. Les rosettes des flancs sont de 5 cm x 5 cm, elles sont épaisses et bien espacées, les cercles sont épais et plus foncés au centre

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Leur pelage est doux et leur fourrure est longue et épaisse. La longueur des poils du dos varie de 20-25 mm en été et jusqu’à 50 mm en hiver. Leur pelage d’hiver varie d’un jaune clair à un jaune-roux teinté de doré. Leur pelage d’été est plus brillant et les rosettes sont d’une couleur plus vive. Les panthères de l’Amour sont assez petites, les mâles mesurent entre 107 et 136 cm, avec une longueur de queue de 82 à 90 cm et une hauteur de 64 à 78 cm. Ils pèsent entre 32,2 et 48 kg et les femelles entre 25 et 42,5 kg. DSC_1031

Le Zoo accueille un nouveau pensionnaire made in Lyon

Le 21 août dernier l’équipe du Zoo a vu naître une petite panthère de l’Amour. Une grande nouvelle pour cette espèce en danger critique d’extinction. En effet, cette panthère est devenue rare dans la nature : seuls 30 à 35 individus survivent dans la région du fleuve de l’Amour qui coule à la frontière russo-chinoise.  

L’enjeu n’était donc pas des moindres… Née de parents arrivés il y a moins de 3 ans au parc de la Tête d’Or, la petite panthère est le 7ème félin à naître en captivité cette année dans le Monde. Depuis le début de l’année, seuls cinq zoos ont reproduits cette espèce.

Elle fait l’objet de toutes les attentions de la part des soigneurs animaliers et surtout de sa mère Kahla. Comme dans la nature son père, Busse, ne participe en revanche pas à l’élevage des jeunes et s’adonne a son activité favorite, la sieste.

Une nouvelle réussite pour le zoo qui vient récompenser les efforts quotidiens des agents pour la préservation des espèces en voie d’extinction.

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Le lion d’Asie et sa lionne

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Les Octoyons : un renard africain qui vit dans les savanes où il creuse un réseau de terriers pour s’abriter de la chaleur.

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Les mangoustes jaunes

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Gibbon à favoris blanc du nord : en danger critique d’extinction

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Watusis : Résultat d’un croisement entre le zébu et le bœuf du Nil, le watusi peuple la planète depuis des milliers d’années.

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Les flamants roses / les canards

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Les pélicans blancs

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Les girafes et leur girafon (c’est l’hiver alors elles sont dans un enclos)

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et bien d’autres, zèbes, singes, oiseaux, etc… je vous laisse venir les découvir 😉

– Impossible de louper la Basilique Notre Dame de Fourvière, qui domine la ville!

Image illustrative de l'article Basilique Notre-Dame de Fourvière

La basilique de Notre-Dame de Fourvière domine la ville de Lyon depuis le sommet de la colline de Fourvière, sur l’emplacement de l’ancien Forum de Trajan (Forum vetus, d’où le nom de Fourvière). Son architecture de style néo-byzantin ou romano-byzantin est l’œuvre de Pierre Bossan. Constituant un des repères les plus visibles de l’agglomération au même titre que la tour Part-Dieu, la Basilique Notre-Dame de Fourvière est un des symboles de la ville de Lyon. Elle donne à Lyon son statut de ville mariale.

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– Le théatre antique de Fourvière

Le théâtre antique

Le théâtre antiqueromain de Lugdunum (Lyon) est adossé à la colline de Fourvière, près de son sommet, ce qui le plaçait au centre de la ville romaine. Il forme avec l’Odéon antique un site archéologique remarquable.

Le théâtre a été construit en deux étapes :

  • Sous Auguste, et probablement vers -15, un théâtre de 90 m de diamètre est construit contre le flanc de la colline, selon un plan classique : gradins en demi-cercle bâtis sur une sous-structure rayonnante (25 secteurs voûtés, en éventail), orchestre dallé de marbres polychromes, mur de scène à trois exèdres, deux entrées latérales voûtées. Les archéologues ont identifié parmi les matériaux de construction des pierres provenant des carrières de Glanum, ce qui est un indice du soin apporté à cet ouvrage et de l’ampleur probable de l’investissement.
  • au début du IIe siècle, sous Hadrien, une troisième série de gradins est ajoutée en haut de la structure, portant son diamètre à 108 m, et donnant une capacité estimée à 10 000 places.

Les représentations consistaient majoritairement en des comédies musicales. Le mur de scène permettait, ainsi, comme à Orange, de réverbérer le son de la musique vers les gradins. Les spectacles avaient lieu du printemps à octobre.

La fosse en avant de la scène permettait la manœuvre d’un rideau montant. L’examen des traces d’usure sur les cassettes de pierres faisant saillie a permis de proposer une reconstitution du mécanisme de manœuvre du rideau, exposé dans le musée de la civilisation gallo-romaine qui se trouve à proximité.

Abandonné à la fin de l’Empire, il fut identifié à tort au XIXe siècle comme l’amphithéâtre des trois Gaules. Son dégagement complet et sa restauration ont commencé en 1933.

Sachez que dans le musée de la civilisation gallo-romaine rassemble les découvertes faites sur le site antique de Lyon, de la région, voire d’ailleurs pour certaines pièces. On trouve notamment des pierres gravées, des statues, des bijoux, des objets de la vie courante, etc. On va même jusqu’à découvrir qu’avant que le christianisme ne soit, il exister deux théatres antiques, et un immense temple à la place de la basilique… on en est venu à se demander si la basilique n’est pas faite des pierres, colonnes de ce temple? mystère…!

– les traboules (passage reliant des cours d’immeubles et qui permet de se rendre d’une rue à une autre)

Les pentes du quartier de la Croix-Rousse comptent 163 cours et traboules recensées, le quartier de la Presqu’île compte 130 cours et traboules recensées, le quartier du vieux Lyon compte 215 cours et traboules recensées.

– les gourmandises

La praline rose! hummmm!! déclinée en tarte, cake, brioche, etc!! c’est trop bon!: ​La praline rose, spécialité de la région lyonnaise, est un bonbon fait d’une amande enrobée de sucre caramélisé. Pourquoi est-elle rose ? Lors du dernier enrobage de l’amande, le sucre est coloré et aromatisé, tout simplement.

Le coussin de Lyon: spécialité pâtissière lyonnaise à base de chocolat et de pâte d’amande. Cette friandise est un carré de pâte d’amande candie, vert pâle avec un filet vert foncé, fourré d’une ganache de chocolat parfumé au curaçao.

Le bouchon Lyonnais : c’est un restaurant typique où l’on mange des spécialités, dont le tablier de sapeur, les quenelles, la salade lyonnaise et la cervelle de canut. Le tout est généralement arrosé d’un verre de Beaujolais ou de Côtes-du-rhône. Cité par de nombreux auteurs, ce lieu traditionnel se doit d’être simple et convivial.

– il y plein d’autres choses à y découvrir, les Halles de Paul Bocuse, le quartier de la Part Dieu, la presqu’île, le nouveau quartier Confluence,etc…!! enfin on s’arrête jamais!

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