Paris c’est aussi ses monuments :)

Coucou!

J’en fini avec Paris avec ce dernier billet! Vous allez me dire « Ennncccoooorre??!! Non mais dit! » lol C’est vrai que je ne suis pas une grande fan de ville, mais j’ai toujours beaucoup apprécié la culture et l’architecture riche des villes, et je dois dire que Paris est une belle ville! Même si les parisiens sont pressés, même s’il y a beaucoup trop de marches dans le métro, même si on ne peut pas tout visiter en un week-end et qu’on est obligé d’y retourner! C’est ça Paris! Une fois qu’on en a vu un petit bout on veut voir le reste!!!! Alors voilà je vous avez déjà parlé de la Tour Eiffel; notre grande dame; et de Notre Dame de Paris ; une belle cathédrale dans un premier billet « découverte de Paris ». Je vous parlerai ici aussi de l’Arc de Triomphe. Il y a tellement de monuments et je suis sûr que certains parisiens se gardent bien de nous dévoiler leurs petits endroits secrets !! hihi petits malins!!

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La Tour Eiffel reste le monument incontournable et quand on la regarde on se dit « je suis à Paris », devant cette dame qui a déjà vécue un siècle entier et plus, et qui en a bien vu passer des choses :).  Il y a aussi notre belle cathédrale de Paris, un peu déçue de ne pas avoir pu découvrir les tours de cette belle dame ( en restauration ). Cependant l’intérieur n’en ai que plus beau, dès que vous entrez vous sentez cette sensation que vous êtes dans un lieu culte, qui a vécu et qui vous imprègne de sa religion.

DSCN1201DSCN1198DSCN1174 DSCN1187 DSCN1178DSCN1193L’arc de Triomphe est quand à lui un bien imposant, logé sur la place de l’étoile. Ce qui est assez surprenant c’est que pour pouvoir traverser le « rond-point » d’au moins cinq lignes, vous passer dans une sorte de passage dérobé qui traverse la place en sous-terrain! héhé! tel des aventuriers! Vous arrivez sur un lieu qui vous fait ressurgir tout ce que les soldats français ont fait pour la France. La flamme du soldat inconnu en est la preuve. Pour ma part j’ai trouvé ce lieu émouvant et non touristique ( même s’il y a beaucoup de touristes!). On a pu monter tout au dessus mais encore là l’arc se fait un beauté! Didonc didonc en ce moment à Paris c’est le grand nettoyage!!! 😉

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Et vous savez qu’il y a une réplique exact de la Statue de la liberté en miniature (4 fois plus petite) à Paris??!! En fait il en existe beaucoup dans le monde et en France mais celle-ci est le croquis j’ai envie de dire de la Statue mondialement connue située à New York City.

La statue de la Liberté est l’un des monuments les plus célèbres au monde, mais avant de commencer ce titanesque ouvrage sur la butte Montmartre de Paris, son sculpteur, le Français Auguste Bartholdi, avait d’abord façonné un premier projet de 286 cm, puis une maquette en plâtre de taille originale de 11,50 mètres et de 14 tonnes (achevé en 1878). L’artiste utilise ce modèle en plâtre pour réaliser un agrandissement de quatre fois qui deviendra la statue qui se trouve à New York2,3,4. Ce plâtre original fut léguée par la veuve de l’artiste en 1907, avec le fond de l’atelier de Bartholdi5. Ce plâtre original se trouve au Musée des Arts et Métiers à Paris. Sur le parvis du musée se trouve un bronze exécuté à partir de ce plâtre (même taille), numéro 1 d’un tirage original de 12, réalisé par le musée et fondu par Susse Fondeur Paris.

À partir de cette maquette en plâtre, un premier modèle de même taille est coulé en bronze. Auguste Bartholdi offre ce premier modèle au musée du Luxembourg en 1900. Puis, la statue est installée dans le jardin du Luxembourg(48° 50′ 46.9746″ N 2° 19′ 59.361″ E) en 1906. Sa tablette porte l’indication « 15 de novembre 1889 » (date d’inauguration de la statue située sur l’Île aux Cygnes). Depuis 2012, elle est exposée au musée d’Orsay. La statue originale sera remplacée par une copie dans le jardin du Luxembourg.

En 18854, une autre réplique est coulée en bronze. Cette statue fut offerte à la France par le Comité des Américains de Paris4 à l’occasion du centenaire de la Révolution. Elle est placée à l’extrémité aval de l’Île aux Cygnes à la hauteur du pont de Grenelle, à proximité de l’endroit où se tenait l’atelier de Bartholdi4. On peut lire sur sa tablette « IV JUILLET 1776 = XIV JUILLET 1789 ». Elle fut inaugurée par le président Carnot le 4 juillet 18896, 3 ans après la « new-yorkaise », en présence de son créateur. Elle avait été orientée dans l’autre sens, pour éviter au président Carnot de devoir l’inaugurer en barque ou de dévoiler une statue lui tournant le dos[réf. nécessaire], mais Bartholdi demanda expressément à ce qu’on la dirige plutôt vers New York, ce qui fut fait en 1937, lors de l’exposition universelle.

La réplique de la flamme de la statue, la Flamme de la Liberté, offerte par les États-Unis à Paris se trouve place de l’Alma (8e et 16e arrondissements) depuis 1989. Elle est devenue mondialement connue en devenant le lieu de recueillement à la princesse Diana, morte en août 1997, dans le tunnel de l’Alma qui passe sous le monument.

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En clair Paris c’est bien, c’est beau mais c’est fatiguant! lol

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Lyon et ses belles choses à voir

Je vis à côté de Lyon depuis maintenant 3 ans, c’est la troisième grande ville de France. Je vais vous présenter quelques belles choses à visiter, si vous voulez un jour venir voir cette belle ville 🙂 Commençons par son immense parc, poumon de la ville: le Parc de La Tête d’Or.

Le parc de la Tête d’Or est un parc urbain de Lyon, l’un des plus grands de France. Œuvre des frères Denis et Eugène Bühler, le parc est ouvert dès 1857 alors que les travaux ne sont pas achevés. Il est exactement contemporain du Central Park de New York, créé la même année. Le parc est enrichi de nombreux bâtiments comme les grandes serres en 1865, le vélodrome, le chalet des gardes et le chalet en 1894, la clôture en 1896, les serres de collection en 1899, le monument aux morts de l’île aux Cygnes entre 1914 et 1930 ou encore la nouvelle roseraie entre 1961 et 1964. Aujourd’hui géré par la ville de Lyon et véritable poumon de l’agglomération, le parc offre sur 117 hectares une vaste étendue naturelle au cœur de la cité. On y accède par huit entrées, la dernière ayant été ouverte en 2009, au niveau de l’esplanade de la Cité Internationale. Des événements divers, films, théâtre, expositions ou autre en font un haut lieu de la culture lyonnaise. Le parc est un cadre de prédilection pour les photos de mariage : aux beaux jours on y croise de nombreux couples qui viennent s’y faire photographier. Image illustrative de l'article Parc de la Tête d'Or

Vous y découvrirez un beau jardin botanique où environ 15000 plantes y sont répertoriées, ce qui en fait un des jardins botaniques les plus riches d’Europe ; 4 roseraies ; une grande serre avec de plus petites ; le vélodrome Georges-Peveral créé en 1894 ; un lac de 16 hectares ; un parc zoologique où se trouvait, il y a peu, les deux éléphants que la princesse Stéphanie de Monaco a recueilli chez elle. Voici quelques photos de ce zoo ouvert à tous, tous les jours de l’année 🙂

La panthère de l’amour

20131119La panthère de l’Amour diffère des autres sous-espèces par une épaisse fourrure tachetée qui ne ressemble à aucune autre. Le pelage des panthères du bassin de la rivière Amour, des montagnes du nord-est de la Chine et de la péninsule Coréenne est de couleur crème, surtout en hiver. Les rosettes des flancs sont de 5 cm x 5 cm, elles sont épaisses et bien espacées, les cercles sont épais et plus foncés au centre

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Leur pelage est doux et leur fourrure est longue et épaisse. La longueur des poils du dos varie de 20-25 mm en été et jusqu’à 50 mm en hiver. Leur pelage d’hiver varie d’un jaune clair à un jaune-roux teinté de doré. Leur pelage d’été est plus brillant et les rosettes sont d’une couleur plus vive. Les panthères de l’Amour sont assez petites, les mâles mesurent entre 107 et 136 cm, avec une longueur de queue de 82 à 90 cm et une hauteur de 64 à 78 cm. Ils pèsent entre 32,2 et 48 kg et les femelles entre 25 et 42,5 kg. DSC_1031

Le Zoo accueille un nouveau pensionnaire made in Lyon

Le 21 août dernier l’équipe du Zoo a vu naître une petite panthère de l’Amour. Une grande nouvelle pour cette espèce en danger critique d’extinction. En effet, cette panthère est devenue rare dans la nature : seuls 30 à 35 individus survivent dans la région du fleuve de l’Amour qui coule à la frontière russo-chinoise.  

L’enjeu n’était donc pas des moindres… Née de parents arrivés il y a moins de 3 ans au parc de la Tête d’Or, la petite panthère est le 7ème félin à naître en captivité cette année dans le Monde. Depuis le début de l’année, seuls cinq zoos ont reproduits cette espèce.

Elle fait l’objet de toutes les attentions de la part des soigneurs animaliers et surtout de sa mère Kahla. Comme dans la nature son père, Busse, ne participe en revanche pas à l’élevage des jeunes et s’adonne a son activité favorite, la sieste.

Une nouvelle réussite pour le zoo qui vient récompenser les efforts quotidiens des agents pour la préservation des espèces en voie d’extinction.

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Le lion d’Asie et sa lionne

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Les Octoyons : un renard africain qui vit dans les savanes où il creuse un réseau de terriers pour s’abriter de la chaleur.

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Les mangoustes jaunes

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Gibbon à favoris blanc du nord : en danger critique d’extinction

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Watusis : Résultat d’un croisement entre le zébu et le bœuf du Nil, le watusi peuple la planète depuis des milliers d’années.

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Les flamants roses / les canards

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Les pélicans blancs

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Les girafes et leur girafon (c’est l’hiver alors elles sont dans un enclos)

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et bien d’autres, zèbes, singes, oiseaux, etc… je vous laisse venir les découvir 😉

– Impossible de louper la Basilique Notre Dame de Fourvière, qui domine la ville!

Image illustrative de l'article Basilique Notre-Dame de Fourvière

La basilique de Notre-Dame de Fourvière domine la ville de Lyon depuis le sommet de la colline de Fourvière, sur l’emplacement de l’ancien Forum de Trajan (Forum vetus, d’où le nom de Fourvière). Son architecture de style néo-byzantin ou romano-byzantin est l’œuvre de Pierre Bossan. Constituant un des repères les plus visibles de l’agglomération au même titre que la tour Part-Dieu, la Basilique Notre-Dame de Fourvière est un des symboles de la ville de Lyon. Elle donne à Lyon son statut de ville mariale.

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– Le théatre antique de Fourvière

Le théâtre antique

Le théâtre antiqueromain de Lugdunum (Lyon) est adossé à la colline de Fourvière, près de son sommet, ce qui le plaçait au centre de la ville romaine. Il forme avec l’Odéon antique un site archéologique remarquable.

Le théâtre a été construit en deux étapes :

  • Sous Auguste, et probablement vers -15, un théâtre de 90 m de diamètre est construit contre le flanc de la colline, selon un plan classique : gradins en demi-cercle bâtis sur une sous-structure rayonnante (25 secteurs voûtés, en éventail), orchestre dallé de marbres polychromes, mur de scène à trois exèdres, deux entrées latérales voûtées. Les archéologues ont identifié parmi les matériaux de construction des pierres provenant des carrières de Glanum, ce qui est un indice du soin apporté à cet ouvrage et de l’ampleur probable de l’investissement.
  • au début du IIe siècle, sous Hadrien, une troisième série de gradins est ajoutée en haut de la structure, portant son diamètre à 108 m, et donnant une capacité estimée à 10 000 places.

Les représentations consistaient majoritairement en des comédies musicales. Le mur de scène permettait, ainsi, comme à Orange, de réverbérer le son de la musique vers les gradins. Les spectacles avaient lieu du printemps à octobre.

La fosse en avant de la scène permettait la manœuvre d’un rideau montant. L’examen des traces d’usure sur les cassettes de pierres faisant saillie a permis de proposer une reconstitution du mécanisme de manœuvre du rideau, exposé dans le musée de la civilisation gallo-romaine qui se trouve à proximité.

Abandonné à la fin de l’Empire, il fut identifié à tort au XIXe siècle comme l’amphithéâtre des trois Gaules. Son dégagement complet et sa restauration ont commencé en 1933.

Sachez que dans le musée de la civilisation gallo-romaine rassemble les découvertes faites sur le site antique de Lyon, de la région, voire d’ailleurs pour certaines pièces. On trouve notamment des pierres gravées, des statues, des bijoux, des objets de la vie courante, etc. On va même jusqu’à découvrir qu’avant que le christianisme ne soit, il exister deux théatres antiques, et un immense temple à la place de la basilique… on en est venu à se demander si la basilique n’est pas faite des pierres, colonnes de ce temple? mystère…!

– les traboules (passage reliant des cours d’immeubles et qui permet de se rendre d’une rue à une autre)

Les pentes du quartier de la Croix-Rousse comptent 163 cours et traboules recensées, le quartier de la Presqu’île compte 130 cours et traboules recensées, le quartier du vieux Lyon compte 215 cours et traboules recensées.

– les gourmandises

La praline rose! hummmm!! déclinée en tarte, cake, brioche, etc!! c’est trop bon!: ​La praline rose, spécialité de la région lyonnaise, est un bonbon fait d’une amande enrobée de sucre caramélisé. Pourquoi est-elle rose ? Lors du dernier enrobage de l’amande, le sucre est coloré et aromatisé, tout simplement.

Le coussin de Lyon: spécialité pâtissière lyonnaise à base de chocolat et de pâte d’amande. Cette friandise est un carré de pâte d’amande candie, vert pâle avec un filet vert foncé, fourré d’une ganache de chocolat parfumé au curaçao.

Le bouchon Lyonnais : c’est un restaurant typique où l’on mange des spécialités, dont le tablier de sapeur, les quenelles, la salade lyonnaise et la cervelle de canut. Le tout est généralement arrosé d’un verre de Beaujolais ou de Côtes-du-rhône. Cité par de nombreux auteurs, ce lieu traditionnel se doit d’être simple et convivial.

– il y plein d’autres choses à y découvrir, les Halles de Paul Bocuse, le quartier de la Part Dieu, la presqu’île, le nouveau quartier Confluence,etc…!! enfin on s’arrête jamais!

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